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La fausse histoire de nos vraies vies
La fausse histoire de nos vraies vies
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2 novembre 2007

Un dîner avec Shane...

regretMa réflexion ne s’éternisa pas, j’arrivai chez Shane, je sonnai à la porte et son « chien » m’ouvrit, il me fit entrer, prit ses affaires et partit en me disant « Madame m’a demandé de vous ouvrir et de prendre ma journée, bonne soirée Madame ! » je le saluai et je parti à la recherche de Shane dans cette immense bâtisse…
Sans étonnement, je la retrouvai dans son bureau « salut !

-  elle me répondit sans lever les yeux sur moi. Salut, attends deux secondes, j’ai bientôt fini. »

Je me mis dans le siège face à son bureau, pensant que tout ça devenait assez routinier. Quelques instant plus tard, elle leva les yeux sur moi et me sourit délicieusement, elle se leva et vain s’asseoir à califourchon sur moi « voilà, je suis tout à toi ! ». Ces mots m’annonçaient déjà le déroulement de cette soirée…

Elle m’embrassa tendrement, « mais avant, dinons ! ». Elle m’emmena dans la cuisine et ouvrit un grand frigo en me demandant ce que je voulais manger « c’est toi qui va cuisiner ? Tu veux pas plutôt qu’on commande une pizza ?

- elle relava la tête du frigo, tu risque d’être surprise…

- très bien surprend moi alors ! »

J’enlaçai mes bras autour de ses hanches, posant ma tête pardessus son épaule pour voir ce qui se trouvait dans le frigo « fait moi ce que tu veux… ensuite je te ferai tout ce que tu veux ! » elle tourna son visage vers moi pour déposer un baiser sur ma joue, je fermai les yeux sous cette tendre sensation…
Je m’assis sur la table de travail pendant qu’elle cuisinait à côté de moi, j’en profitai pour lui faire part de mes doutes concernant Sébastian, « Tu tiens à ce garçon ? », je fus surpris par cette question, mais l’appellation « garçon » me ramena au fait que Sébastian et moi n’étions encore que des enfants, alors qu’elle, elle était déjà une femme, une magnifique femme…
Une fois qu’elle enfourna son plat, elle vint se mettre entre mes jambes alors que j’étais encore assise sur la table de travaille. Je déposai mon front contre le sien, fermant les yeux durant quelques secondes pour profiter de chaque instant en sa présence…
Je sentis ses mains glisser sous mon haut, puis ses lèvres rencontraient les miennes…
Finalement, elle avait cuisiné pour rien, son plat brula et on ne pris même pas le temps de diner…

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