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La fausse histoire de nos vraies vies
La fausse histoire de nos vraies vies
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23 mai 2007

A la poursuite de mes etudes...

Plusieurs semaines passèrent, durant ce temps j’appris à appréhender mon nouvel univers. Je continuai de fréquenter Urumi et Sasuke chez qui j’avais logé durant tout le mois de septembre en attendant d’emménager dans mon petit appartement personnel. Bien qu’à la base, ils ne faisaient pas partie de mes amis à titre personnel (ils étaient à l’origine amis de ma petite sœur et je les connaissai depuis toujours), mais leur présence était on ne peut plus sympathique et je m’étais découvert quelques passions communes avec eux : les mangas (il faudra que je vous parle un jour de GTO), le cinéma et une complicité assez prononcée avec Urumi…. c’était des soirées on ne peut plus gentillettes et inoffensives mais elles avaient le mérite de me tenir à l’écart (dans la mesure du possible) de mes démons. De mes innombrables démons, l’un d’entre eux se nommait Angélique (quelle douce ironie d’ailleurs…), plus communément apellé Angie. Angie avait la grâce et la beauté insolente de la jeunesse, l’expérience et la sagesse d’une Femme et…la date de naissance d’une mère de famille (qu’elle était). Je la connaissai depuis plus d’un an et malgré toutes les aventures sans lendemain dans lesquels j’avais pu me jeter à corps et à cris, n’importe ou je regardai je voyais son regard. Elle occupait mes pensées du matin jusqu’au milieu de la nuit. Je ne dormais plus, je ne pensai qu’à elle. Les rares appels passés d’une cabine étaient devenus monotones et presque futiles. Elle était l’amie de feu ma mère, d’une part et elle avait son statut social modeste d’autre part (et à peine plus jeune qu’elle quand elle est morte). Ses deux voire trois raisons faisaient que c’était impossible entre nous. La pression sociale de mon père serait insoutenable. Mais l’Amour a ses raisons que la Raison ignore, et d’une histoire impossible nous avions réussi à la changer en histoire…compliquée, voire même très compliquée pour être honnête. Depuis que j’étais rentré à la fac, tout était plus compliqué : n’assumant pas notre relation, elle s’était jeté dans une relation avec un de ses amis, un mec insipide que je ne prendrai même pas la peine de nommer. Mais les plaisanteries les meilleures sont les plus courtes, et début décembre elle m’apella, en pleurs : l’homme insipide n’était après tout qu’un homme avec tout ses défauts, la laissant dans la misère la plus profonde. Mes revenus substantiels arrangèrent tout ça et je réussi à reconquérir ma place dans son cœur. Ainsi en ce début du mois de décembre, je renaissais.

Mais je serai incomplet dans mon récit, car j’ai oublié de vous parler d’Isabel.Julia_Merai_modif

Fin octobre, comme il a été énoncé dans l’épisode précédent, j’avais fait la rencontre de Paolo et Marcus (je vous parlerai un jour prochain du groupe A, notre groupe de TD depuis entré dans la légende). Au fur et à mesure du mois de novembre, je me mis de plus en plus à parler avec eux. Je découvris une passion commune avec Paolo : le FOOTBALL !!! Nous nous mimes donc à parler de foot, de l’OM, à refaire le monde, les tactiques, les compositions d’équipe… une discussion de mecs quoi ! J’avais remarqué que Paolo traînait avec une fille, une grande brune assez maigrichonne avec des lunettes du nom d’Isabel. Elle se mit assez rapidement à venir me parler, à discuter avec moi souvent avec un assez grand désintérêt de ma part (cette fois ou l’on parlait de CSKA-OM et que je lui mis ouvertement un vent, elle partit fâchée d’ailleurs ! j’espère qu’elle ne m’en tint pas rigueur longtemps quand même). Elle avait l'air assez cultivée et avait la grande qualité d'avoir un avis sur tout! Mais elle avait l’air assez intéressante et je me dis que quand j’aurai réussi à dompter quelques uns de mes démons, j‘apprendrai à la connaître de façon plus approfondie… Fin novembre je remarquai que au binôme Paolo-Isabel s’était greffé trois autres filles dont une tout à fait à mon goût (dans le même genre de celles avec lesquelles j’essayai d’oublier ou du moins me guérir d’Angie) ! Je me rapprocha donc de Paolo

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